Un fil en trop(e) ?

Non

plutôt un philosophe !

Immortalisé depuis des lustres le doigt en l’air, l’encre du stylo de Jean Jacques Rousseau s’était figée. A l’occasion du festival arbres et lumières, intervenant pour le projet de François Gschwind sur l’île Rousseau à Genève *, l’encre s’est mise à nouveau à couler, lumineuse, depuis la cime d’un peuplier à 15m du sol pour rejoindre la pointe de son stylo. L’inspiration sera-t-elle bonne ? L’esprit de nature portera-t-il ses fruits en ces temps de virtualité galopante ?

Il n’est pas toujours aisé de suivre le fil qui relie nos préoccupations basiques et seinpathiques à nos interventions dans l’espace… que ce soit de façon lumineuse ou pas. Certains pourraient songer qu’il faille évoquer des forces obscures, que notre acharnement à démêler les fils des surfaces basiques relève d’un penchant obsessionnel… Notre étude achevée (ce qui ne saurait tarder maintenant) nous aurons tout le loisir de nous étendre sur cette relation.