GAMMES de DOS  

Considérons le graphique ci-dessous. En abscisse : la composante sensible s. En ordonnée : la composante mathématique m.  Pour chaque valeur donnée du temps t nous portons sur le graphe la valeur que prend la composante m et la composante s à cet instant. Pour un autre temps t’ nous aurons un autre point. Joignant les différents points du graphe pour un segment de temps [t,t’] nous aurons un segment de courbe décrivant l’évolution du parcours du sujet dans le plan mathriartcal { m,s }. Nous supposons bien entendu qu’il est possible de joindre ces points sinon cela voudrait dire que nous avons à faire à un sujet au comportement totalement instable ou incohérent.  

La lecture des courbes se fait en suivant les flèches qui marquent la progression du temps. La courbe 1 décrit le parcours d’un sujet dont on peut dire que les préoccupations sont plutôt mathématiques tandis que la courbe 2 révèle un comportement plutôt sensible. La courbe 3 représente un comportement que nous appellerons mathriartcal, la composante mathématique ne l’emportant pas exclusivement au regard de la composante sensible et vice-versa. Observant ces courbes nous remarquons que le sujet présente dans son parcours des périodes de régression. Nous ne pouvons pas savoir si ces périodes correspondent à des dépressions ou bien à un retrait correspondant à une remise en cause préalable à un nouvel élan. Nous observons également des coupures ou discontinuités. Certaines correspondent à des ruptures ou renoncements, d’autres peuvent être regardées comme des sauts dus à des étincelles de génie (?) temporaire. Sur la courbe 3 nous relevons un point autour duquel la courbe s’enroule. Nous pouvons considérer que le sujet a trouvé son équilibre (temporaire ?) et qu’il se concentre sur son objet. Sur ces courbes le temps n’apparaît pas. Il n’est pas possible de connaître la durée du segment [t,t’]… cela peut être toute la vie ou bien seulement une courte période. Ainsi le point autour duquel la courbe 3 spirale peut être une chimère, un fantasme, une intuition que le sujet a entrevue et qui agit comme un attracteur ou un point limite. Ce point n’a peut-être aucune réalité mais c’est vers lui que le sujet tend sans jamais pouvoir l’atteindre. Il peut consacrer toute sa vie, s’épuiser à cette quête… et ne rien produire de révélateur…. C’était une fausse piste ? Pas certain ! Peut-être que ce n’était que la marque de ses limites et quelqu’un d’autre retrouvant sa recherche et la poursuivant atteindra ce point, le dépassera… auquel cas ce point qui apparaissait comme une limite s’avèrera comme un point continu dans un parcours étendu à plusieurs sujets et plusieurs générations. L’appellation mathématique et sensible est sans doute réductrice. Nous l’avons retenue car elle marque la séparation de deux composantes toutes deux humaines, que très souvent nous mettons en opposition (en conflit ?) mais qui reflète plutôt la complémentarité ( ou supplémentarité) de deux espaces qui sont la marque de notre essence (humaine ?). 

Quel que soit epsilon strictement positif, il existe alpha strictement positif tel que : si x moins a en valeur absolue est strictement inférieur à alpha, alors f de x moins l en valeur absolue est inférieur à epsilon.         f de a  peut ne pas être défini ou bien différent de l      

Comment cette expression en signes mathématiques serait traduite en langage de cette machine via internet ? Mystère ! elle serait incompréhensible sans nul doute autant se reporter à « surfaces seinpathiques n°1 »